Génération M : L'Islam : une alternative à quoi ?

Publié le par Génération M

Quel est la place de l’Islam aujourd’hui dans la société ?

Entre la lutte contre le terrorisme islamique* (ou islamiste, je n’ai jamais vraiment compris les nuances et les suffixes qu’ils – les médias – nous vendent) et les polémiques contre le port du voile dans les établissements scolaires (entre autres), il y a des personnes qui vont bien au delà des clichés vendus par TF1, France 2, RTL, RTBF, etc. Et qui arrivent à faire une analyse critique et – plus – objective de ce qui est aujourd’hui la religion la plus importante en nombre de pratiquants.




Je ne vais même pas parler de personnes « ouvertes d’esprit » car ça voudrait dire que l’Islam représente un « blocage naturel » qui nécessite un effort d’ouverture**, mais plutôt de personnes de bon sens à même d’effectuer une analyse critique. Et à ce titre j’aimerais vous présenter un article assez bien écrit et vachement pertinent sur les raisons qui poussent à (éventuellement) s’intéresser à l’Islam aujourd’hui.

 

* Il n’y a bien entendu pas de terrorisme occidental ou sioniste, ceux là font (en Irak, Afghanisan, …) « la guerre pour la paix » (il n’y a pas dire, il y en a qui ont le sens de la formule ! J) et les musulmans font la guerre pour le plaisir de voir du sang couler (« ji veu vou tirrourisé !! »), c’est d’une logique implacable !
** En vérité l’ « effort d’ouverture » c’est surtout l’effort de passer outre les idées préconçues façonnées par ce qu’on voit des les médias. J’espère naturellement que vous avez franchi cette étape depuis longtemps.

 

 

Cet article est écrit par David L’Epée, étudiant et journaliste suisse. Manifestement, il s’est questionné sur la diabolisation de l’Islam … qu’il apparente très sérieusement à la diabolisation des (anciens) régimes communistes.

Comme le disait le personnage d’Oussama Ben Laden dans les Guignols de l’info :

 

« Depuis la chute du communisme, vous n’aviez plus d’ennemi commun. Un ennemi capable de susciter le patriotisme et l’union nationale … (le 11 septembre) vous l’aviez rêvé, Oussama l’a fait !! »

 

Il va de soi, pour un esprit critique, que l’on (disons le : l’Empire) va sans aucun doute mettre en place une politique de diabolisation contre quelque chose qui est une menace réelle (un frein à leur nouvel ordre mondial ?), d’où le titre de l’article (que j’ai repris également) : « L’Islam : une alternative à quoi ? »

Voici l’article de David L’Epée que je vous recommande de lire jusqu’au bout tant l’analyse est pertinente (j’ai personnellement fais ressortir les passages que j’estime importants, en gras) :


« L’Islam : une alternative à quoi ? »


























Si un bilan devait être dressé de ces premières années du XXIe siècle, nul doute – les historiens du futur en attesteront certainement – que la question de l’Islam occuperait une place centrale dans les sujets les plus marquants de la période que nous traversons.
Cette période, qui débute à la chute de l’empire soviétique, sera vraisemblablement considérée avec le recul comme une parenthèse géopolitique,

 

quelques décennies durant lesquelles, brièvement, aura triomphé l’unilatéralisme, le pouvoir d’une seule puissance : la puissance nord-américaine.

 

Parenthèse, dis-je, car tout semble à l’œuvre un peu partout dans le monde pour nous ramener à plus ou moins brève échéance à une période de multipolarité, dans une sorte d’accélération de l’histoire qui se manifeste par des signes aussi éloquents que la remise sur pieds de la Fédération de Russie, la montée en puissance de la Chine, la régénération politique d’une partie importante de l’Amérique du Sud, le réveil du monde arabe, et, de manière générale, un regain d’agitation dans les zones contrôlées par l’empire étasunien (guerre d’usure en Irak, refus à l’Est des boucliers anti-missiles de l’OTAN, exaspération au Japon et en Corée du Sud face à la présence militaire américaine, tensions sécessionnistes au cœur même de l’empire, etc.).

Je ne vais pas me prêter ici au jeu des perspectives et des paris quant à la forme que prendra demain le nouvel ordre mondial désaméricanisé mais je vais me pencher plutôt sur la période que nous traversons en ce moment, une parenthèse qui n’a rien d’une stagnation.

De l’actuel leadership étasunien on ne doit pas déduire que tout autre modèle alternatif a cessé d’exister depuis la chute de l’URSS. Le communisme est moribond, certes, mais l’histoire a horreur du vide et à un mouvement international d’opposition de masse ne pouvait que succéder un autre mouvement international d’opposition de masse.

 

Cette opposition, nous le savons tous, a aujourd’hui le visage de l’Islam.

 

De Moscou à Téhéran, de la moustache du petit père des peuples à la barbe du prophète, les convergences sont frappantes. Les médias occidentaux ne s’y trompent pas, d’ailleurs, puisqu’ils réservent bien souvent aux musulmans le même traitement diabolisant et discriminatoire qu’ils réservaient hier aux activistes communistes.

 

Même chasse aux sorcières, mêmes amalgames calomnieux, même stigmatisation, mêmes accusations délirantes de terrorisme et de subversion, et, bien sûr, même peur d’une infiltration massive de cette subversion au cœur même du monde occidental.

 

Les conversions, l’influence idéologique de l’Islam déstabilisent l’establishment au même titre qu’hier l’adhésion des travailleurs au Parti ou aux syndicats rouges. La comparaison s’arrête là mais c’est déjà beaucoup.

Cette « prolifération » fait d’autant plus peur qu’elle est grandement favorisée par le contexte démographique. Pour des raisons culturelles et économiques qui ne sont un secret pour personne, les pays occidentaux à forte immigration musulmane sont aujourd’hui le théâtre de ce que nous pourrions appeler une substitution progressive de peuplement.

L’équation en est simple :

 

immigration musulmane massive + regroupement familial + démographie explosive de cette immigration + dénatalité indigène = substitution ethno-culturelle d’un peuplement à un autre sur un territoire donné.

 

La question de savoir s’il faut le déplorer ou s’en réjouir n’entre pas en ligne de compte dans cette analyse, il s’agit de faits et de faits indiscutables. Une certaine gauche applaudit au nom de l’idéologie multiculturaliste et xénophile tandis qu’une certaine droite vitupère au nom des vieilles chimères ethnocentristes et racialistes, mais, une fois de plus, les extrémistes des deux bords ont un train de retard et l’histoire ne les a pas attendus.

Relevons tout de même qu’en dépit du discours cosmopolisant véhiculé par les médias du système, les immigrés migrent très rarement par choix ou par amour de leur terre d’accueil et les musulmans sont loin, c’est le moins qu’on puisse dire, d’être des fanas du métissage généralisé ...

La question se complique encore – et devient plus intéressante – quand on sait qu’en plus de ses atouts démographiques, l’Islam peut compter, de plus en plus, sur un pouvoir de séduction qui va grandissant. Un exemple paru dans la presse il y a quelques mois m’avait particulièrement frappé. Un groupuscule islamiste qui fomentait des attentats en Allemagne avait été démantelé et ses membres arrêtés. Le seul hic de l’affaire, qui lassa les forces de l’ordre dubitatives, c’est qu’un nombre important des membres de ce groupe armé n’étaient ni des migrants arabo-musulmans ni des fils d’immigrés mais de jeunes Allemands de souche ! Doit-on vraiment s’en étonner ?

L’Europe de l’Ouest, tout comme les Etats-Unis, n’est-elle pas un terrain particulièrement propice aux menées du prosélytisme islamiste ? Deux des plus grands « idéaux de masse » de notre histoire – le christianisme et le socialisme – ayant quasiment tiré leur révérence ou étant sur le point de le faire (ce constat s’applique particulièrement à notre coin d’Europe), il se trouve que nous n’avons rien de crédible à opposer à cette formidable espérance que représente l’Islam pour des millions et des millions d’individus à travers le monde.

L’histoire a horreur du vide, je l’ai dit, et une place délaissée ne reste jamais longtemps vacante. Ceux qui, chez nous, s’étonnent du nombre croissant de conversions de nos compatriotes à la foi musulmane n’ont vraisemblablement pas compris que l’homme ne vit pas que de fêtes et de shopping, comme ils n’ont de toute évidence pas compris non plus que

 

si nous n’avons à opposer à l’Islam que notre économie de marché et notre consumérisme hédoniste, alors c’est que nous avons déjà perdu.

La séduction de l’Islam s’exerce avant tout dans nos quartiers les plus défavorisés, de par la forte présence d’immigrés arabo-musulmans bien sûr, mais aussi pour des raisons beaucoup plus profondes. Ces raisons tiennent en grande partie à ce que nous appellerons les « convergences morales » qui existent entre certaines valeurs de l’Islam et les valeurs propres aux classes populaires de notre société.

Ces valeurs recoupent en gros ce que Georges Orwell appelait la comon decency, soit un ensemble d’idées très précises de « ce qui se fait » et « ce qui ne se fait pas », un certain sens de l’honneur, de la famille, une certaine fierté identitaire et une virilité exacerbée. Virilité que beaucoup de jeunes travailleurs font leur, parce qu’elle correspond à l’image qu’ils souhaitent donner d’eux-mêmes et parce que les bas salaires qu’ils touchent (quand ce n’est pas l’absence pure et simple d’un emploi) sont au contraire ressentis par eux comme des facteurs humiliants de dévirilisation. Compensant ainsi leur faible pouvoir d’achat et leur impuissance à exercer une influence réelle sur la société qui les entourent, ils se laissent souvent séduire par un Islam viril – machiste, diront certains – qui leur enseigne le respect des aînés, de la mère notamment, et qui leur apprend à se prémunir physiquement contre tout affront les visant ou attentant aux valeurs que nous venons de mentionner (1).

En un autre temps, ces jeunes Européens, à la recherche de valeurs du même type, se seraient identifiés à une expression européenne, culturellement enracinée, de ces valeurs – le catholicisme, le scoutisme, telle ou telle mouvance philosophique ou culturelle ou que sais-je encore – mais le fait est que l’Europe moderne ne propose plus aucune de ces alternatives. Comme l’explique l’essayiste Guillaume Faye (auteur à prendre avec des pincettes mais qui a parfois des éclairs de lucidité), « le surgissement de l'Islam radical est le contrecoup des excès du cosmopolitisme de la modernité qui voulut imposer au monde entier le modèle de l'individualisme athée, le culte de la marchandise, la déspiritualisation des valeurs et la dictature du spectacle. » (2)

Le choix de l’Islam par certains de nos compatriotes n’est tout de même pas qu’un choix par défaut, certes, mais

 

on ne voit guère en même temps quelle autre offre morale et spirituelle pourrait lui faire concurrence.

 

Ceux parmi nous qui, sous l’influence débilitante des médias à discours unique, voient l’Islam banlieusard comme un univers barbare où les mosquées côtoient les caves à tournantes, sont donc bien loin de la réalité. Le fait est que ces médias cherchent sciemment, à chaque manifestation d’incivilité des jeunes immigrés arabo-musulmans (ou de ceux qui les côtoient) à mettre lesdites incivilités sur le compte de l’influence pernicieuse de l’Islam, comme si le Coran préconisait à ses lecteurs de dealer des stupéfiants, d’agresser les chauffeurs de bus, de brûler les voitures et de violer des femmes en bande. On présente les voyous en Lacoste et en casquette de base-ball comme des sectateurs de Mahomet alors que nous savons pertinemment que ces gens-là ont été allaités au rap américain, aux vidéos porno, à la culture bling-bling de MTV et au fantasme de l’argent facile entretenu par la pensée ultralibérale. Rien de commun avec l’Islam, on en conviendra. Rien de commun entre ce lumpenprolétariat acculturé et hyper-consumériste et la République islamique d’Iran, par exemple, qui développe jusque dans le domaine de la publicité une méfiance soutenue face aux écueils de la société de consommation (3). Rien de commun entre ces ados décérébrés accros aux sites X et les activistes musulmans du Maghreb en guerre contre Canal+ et son Journal du Hard (4) .

 

Ceux que d’aucuns appellent les « racailles » ne sont en définitive pas des musulmans en puissance – ce sont des Américains en puissance.

 

Serions-nous donc pris en tenaille entre deux modèles antagonistes de société (le musulman et l’étasunien) dont aucun n’est vraiment le nôtre ?

Serions-nous donc déjà hors de la course, sommés de choisir entre deux conceptions de la vie dont aucune n’est européenne ?

Je me souviens d’un slogan identitaire qui avait circulé en Suisse il y a quelques années sous forme de graffitis sur les murs et qui disait « ni McDo ni kebab ». Une certaine conception de la neutralité suisse, dira-t-on … Ce type de slogans, construit sur le vieux modèle du célèbre « ni trust ni soviet » de la guerre froide, ne va certes pas chercher bien loin mais il met en exergue cette question du retour de la bipolarité mondiale que j’évoquais au début de cet article et l’abyssale absence de l’Europe dans le nouveau jeu géopolitique et idéologique qui est en train de se dessiner.

Si nous ne parvenons pas sur le moyen terme à régénérer ce que nous pourrions appeler une vraie pensée européenne (et je me permets de ne pas être très optimiste sur ce point), il viendra immanquablement un moment où il nous faudra affronter ce choix difficile et prendre parti,

 

au moins à titre individuel, pour un des deux camps en présence. Lequel ?

En pleine guerre froide, Alain de Benoist, éminent intellectuel français, s’était, sur le même modèle, élevé au dessus des préjugés anticommunistes en cours dans les milieux qu’il fréquentait (la « nouvelle droite ») et il avait écrit, s’attirant la foudre de nombreux de ses camarades : « Certains ne se résignent pas à la pensée d’avoir un jour à porter la casquette de l’Armée Rouge. De fait, ce n’est pas une perspective agréable. Nous, nous ne supportons pas l’idée d’avoir un jour à passer ce qui nous reste à vivre en mangeant des hamburgers du côté de Brooklyn. »

 

En remplaçant la casquette de l’Armée Rouge par le keffieh palestinien, nous aurions, je crois, un énoncé clair du dilemme qui est aujourd’hui le nôtre, à nous jeunes Européens.


J’étais, il y a quelques jours, assis dans le bus à côté d’une femme voilée entourée de trois ou quatre enfants en bas âge et je feuilletais Le Matin Bleu. Il était question, dans la brève que je lisais (car il n’y a que des brèves dans Le Matin Bleu) d’une jeune Italienne qui participait en ce moment à une émission de télévision où elle avait mis aux enchères sa virginité ; elle espérait au moins empocher un million et demi d’euros. Le journaliste expliquait que ce nouveau concept à la mode nous venait d’outre-Atlantique (allons donc !) où l’hymen d’une jeune Américaine avait trouvé acquéreur sur Internet pour la somme faramineuse d’1,2 millions de dollars. Et la jeune fille d’expliquer : « Je n’ai pas de dilemme moral, nous vivons dans une société capitaliste. » Ecœuré, j’ai refermé mon journal et je me suis surpris, sans y penser, à observer cette mère de famille voilée en train de parler à ses enfants. J’ai alors réalisé l’abîme incommensurable qui séparait ces deux mondes, celui – fait de droiture et de préceptes stricts – de l’Islam, et celui, jouisseur et cynique, d’un Occident abandonné aux ravages du libéralisme apatride.

 

Ces deux sphères idéologiques sont résolument inconciliables.

S’il fallait vraiment choisir – et quant à moi, je ne le ferais pas de bon cœur car ce combat n’est pas le mien – alors il faudrait peut-être se poser une question très simple : préféreriez-vous que votre fille se convertisse à l’Islam ou qu’elle mette sa virginité aux enchères sur Internet ? Quant à moi, je n’hésiterais pas une seconde.

Septembre 2008

Notes

 

1 - J’ai voulu mettre l’accent sur cette question de la virilité parce qu’aux dires de nombreux musulmans (et on ne peut pas entièrement leur donner tort), c’est précisément ce qui ferait défaut à notre actuelle conception de la vie. Je ne parle pas de la conception européenne en tant que telle mais de ce qu’elle est devenue depuis quelques décennies sous l’influence de certaines idées libérales et de la religion dite des "droits de l’homme". Il faut bien avouer que convertis comme nous le sommes à l’auto-masochisme, au reniement permanent de nos origines et au mépris de toutes les manifestations morales ou physiques de la force (à laquelle nous préférons maintenant des valeurs plus "féminines" telles que la douceur, les concessions, la tolérance), nous ne sommes plus vraiment de taille à tenir tête lors d’un hypothétique choc des civilisations. Evolution positive ou dommageable ? Je me permets de suspendre mon jugement.

2 - Guillaume Faye, "L’Archéofuturisme", éditions de l’Aencre, 1998

« L’Iran a interdit aux vedettes du cinéma et du sport de faire de la publicité, affirmant que les célébrités ne devaient pas promouvoir la culture de la consommation. "L’utilisation de l’image des artistes, des sportifs et des personnalités culturelles est interdite dans les publicités commerciales" a déclaré Ali Reza Karimi, directeur général du Ministère de la culture en charge de la publicité. Il a ajouté que les artistes et les célébrités "doivent promouvoir la culture des notions chevaleresques plutôt que celle de la consommation". » (AFP, 9 juillet 2008)

3 - « Le parquet antiterroriste de Paris a ouvert une enquête préliminaire après des menaces proférées à l'encontre de Canal+ exigeant que la chaîne cryptée cesse la diffusion de films pornographiques vers le Maghreb. La chaîne avait déposé plainte après avoir reçu un courrier anonyme fin juin. Son ou ses auteurs, qui se présentent comme musulmans, menacent de "faire sauter le siège" de la chaîne, situé au sud-ouest de Paris, si elle ne met pas fin à la diffusion chaque premier samedi du mois de son film pornographique, diffusé aux abonnés du Maghreb et du Moyen-Orient grâce au satellite Hotbird. » (AFP, 8 juillet 2008) Ce communiqué m’a rappelé un texte du libre penseur français Marc-Edouard Nabe, sympathisant anarchisant de la cause musulmane, qui écrivait dans son journal La Vérité (n°1, novembre 2003) : « La pudeur manque. Il ne faut pas s’étonner que ce soit à coups de bombes que certains cherchent à l’imposer. Oui, chaque attentat est non pas un attentat à la pudeur, mais pour la pudeur ! »

4 - Alain de Benoist, in. Eléments n°41, mars-avril 1981

Source : http://www.voxnr.com/cc/tribune_libre/EkkuFuZpZAXZbEfAln.shtml


-----------------------------------------------------------

En bonus, quelques vidéos qui mettent en avant cette analyse – je pense – assez concrète sur la société actuelle et qui peut se résumer en une seule idée (même si cela ne concerne que les « dézombifiés » du système ; rassurez-vous cela se travaille 
J) :

 

Le choix d’un modèle de société, régissant tous les aspects de la vie, dans la dignité de chacun et dans la vertu.

 

Même si on est bien d’accord que (dans un premier temps) ce choix est uniquement pour soi-même ; c’est quand il y aura une démultiplication de « soi-même » (du choix individuel) qu’on parlera à l’échelle d’une société. Sachez néanmoins que s’ils combattent à ce point l’Islam, cela signifie que la « démultiplication » est déjà à un stade avancé (eux diront : préoccupant).

Le « capitalisme social » ou « social capitalisme » (ça ne veut rien dire au fond car le but final est de créer des zombis dépendants totalement de l’Elite ... et de leur modèle !) est un échec, et leur nouvel ordre mondial va leur exploser au visage ; du moins lorsque les âmes seront unies autour d’une seule et unique doctrine, celle qui consiste à – je vais le répéter – redonner la dignité à chacun ainsi que de la vertu.

Et, moi non plus, je ne vois pas qu’est-ce qui pourrait concurrencer l’Islam sur ce terrain là.

La conception du monde qu’a l’Empire est un échec confirmé … et cet échec se reconfirmera autant de foi qu’ils tenteront de l’imposer ; c’est clair, net, sans appel, et définitivement INALIENABLE !!!

Je ne pense pas qu’il faille avoir peur de ce « choc des civilisations » que l’Elite a manifestement envie de créer ; et de diaboliser à la fois. On apprend en marketing que ce n’est pas en critiquant (et en diabolisant) la concurrence que l’on vend son produit (son système). C’est la pire manière de procéder !* A ce titre ils sont de piètres marketeurs (et piètres « intellectuels ») car ils font eux-mêmes la promotion de quelque chose qui est – pour les uns – un choix de raison et d’humilité (un retour à la spiritualité) ou – pour les autres – un modèle qui n’est sans doute pas pire que l’injustice que subissent les peuples aujourd’hui.

* Pour preuve : le nombre de conversions massives après le 11 septembre (voir vidéos) ; ces « intellectuels » n’ont toujours pas compris comment cela a pu arriver bien qu'ils ont « clairement défini l’axe du mal » ...

 

La critique négative de la « concurrence » n’a d’égal que son incapacité à s’imposer de soi-même (par ses qualités) et la médiocrité (relative) de son produit (son modèle).

 

A méditer …


70.000 personnes chaque année en France ...




En Allemagne aussi ...




Et chez les latinos ...




Un ancien gardien de Guantanamo !




Une juive et une américaine




Une italo-polonaise




Dans les banlieues ...




De jeunes hollandaises nous racontent ... (documentaire de 50 min ; NL sous-titrés EN)


« Lorsque vient le secours d'Allah ainsi que la victoire,
et que tu vois les gens entrer en foule dans la religion d'Allah,
alors, par la louange, célèbre la gloire de ton Seigneur et implore Son pardon.
Car c'est Lui le grand Accueillant au repentir »

[Sourate 110. Traduction relative et rapprochée du sens des versets]



Source : http://generationm.over-blog.com/article-30985181.html

Publié dans Génération M

Pour être informé des derniers articles, inscrivez vous :
Commenter cet article